Bon anniversaire à CYCLEVIA !
Son ambition est de porter cette filière à un haut niveau de performance tout en réduisant son impact sur l’environnement.
Retrouvez les grands jalons qui ont marqué la première année de Cyclevia :
Son ambition est de porter cette filière à un haut niveau de performance tout en réduisant son impact sur l’environnement.
Retrouvez les grands jalons qui ont marqué la première année de Cyclevia :
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé de 5,2 % en février 2023* pour atteindre 3,561 millions de m3.
Ce résultat témoigne d’une baisse significative des livraisons de gazoles de 7,7 % par rapport à février 2022, alors que celles de supercarburants sans plomb restent en hausse de 2,5 % par rapport à février 2022.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers reste encore prépondérante à 73,8 %*** en février 2023, en légère baisse de 2,0 points par rapport à février 2022.
Les livraisons de carburéacteur ont atteint 0,531 million de m3 enregistrant une hausse de 28,7 % par rapport à février 2022. Elles restent toujours en deçà des niveaux de février 2020 avant covid (- 10,5 %) ; les livraisons de gazole non routier baissent de 6,9 % à 0,342 million de m3 ; celles de fioul domestique sont en baisse de 18,8 % à 0,503 million de m3.
« Nous avons la conviction que la transition énergétique doit se faire avec nous - les jeunes -, et que nous devons en être le moteur. C’est pourquoi nous avons choisi d’être acteurs de l’intérieur. Nous voulons être un pont entre les plus jeunes (scolaires, étudiants, et jeunes diplômés) et notre industrie des énergies. Nous souhaitons parler sincèrement et à notre manière de nos métiers, pour leur donner envie de relever ce défi des transitions, avec nous, au sein de nos entreprises ou en dehors. »
Et de préciser « Quelle que soit l’entreprise que nous représentons, nous voulons avoir un message commun, accessible et audible, pour éclairer sur le rôle de notre industrie dans la transition que nous vivons. »
Le 9 mars 2023 , Olivier Gantois, président d’Ufip Énergies et Mobilités, a présenté à la presse le bilan 2022 et les perspectives 2023 pour le secteur pétrolier et multi-énergies en France. Ce fut aussi l’occasion d’annoncer le lancement des Nouveaux Regards. Un collectif de jeunes travaillant dans nos entreprises qui veut être l’écho des attentes des jeunes générations et avoir un rôle actif dans la transition énergétique et le devenir de notre industrie.
Retrouver la présentation de la conférence de presse
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 5,9 % en janvier 2023* enregistrant un volume de 3,861 millions de m3. Elles restent en retrait de 3,8% par rapport à janvier 2020 (avant covid).
Le basculement d’une partie des consommations de gazole vers celles des essences se poursuit : les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse 18,3 % par rapport à janvier 2022. Alors que les livraisons de gazoles n’augmentent que de
2,0 % par rapport à janvier 2022.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers s’établit ainsi à 73,0 %*** en janvier 2023 (- 2,8 points par rapport à janvier 2022).
Les livraisons de carburéacteur ont atteint 0,566 million de m3, enregistrant une hausse de 29,4 % par rapport à janvier 2022. Elles restent toujours en retrait par rapport à ses niveaux d’avant covid (- 15,3 % par rapport à janvier 2020) ; celles de gazole non routier sont en baisse* de 2,1 % à 0,299 million de m3 ; celles du fioul domestique sont en baisse* de 27,4 % à 0,513 million de m3.
Sur l’ensemble de l’année 2022 et selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français se sont établies à 49,290 millions de m3, en hausse de 2,2 % par rapport à l’année 2021. Elles restent en léger retrait de 1,6 % par rapport à 2019 (avant covid).
Les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse 10,6 % par rapport à 2021 alors que les livraisons de gazoles ont baissé de 0,5 %, confirmant le basculement observé mois après mois, d’une partie des consommations de gazoles vers celles des essences. La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers se situe ainsi à 73,5 %*** à fin 2022 (- 2,0 points par rapport à 2021).
Sur l’année 2022, les livraisons de carburéacteur ont atteint 6,921 millions de m3, enregistrant une hausse de 52,8 % par rapport à 2021. Elles restent néanmoins en retrait de 21 % par rapport à 2019 (avant covid) ; celles de gazole non routier sont en hausse de 2,7 % à 5,536 millions de m3 ; celles du fioul domestique sont en baisse de 19,4 % à 4,894 millions de m3.
Au total, les livraisons de produits pétroliers énergétiques augmentent de 3,7 % sur l’année pour s’établir à 55,507 millions de tonnes, sans retrouver leurs niveaux d’avant covid (- 5,4 % par rapport à 2019).
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé de 1,2 % en novembre 2022* enregistrant un volume de 4,040 millions de m3.
La dynamique des essences se poursuit : les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse 8,0 % par rapport à novembre 2021. Les livraisons de gazoles baissent de 4,2 % par rapport à novembre 2021, confirmant la tendance observée depuis plusieurs mois d’un basculement d’une partie des consommations de gazole vers celles des essences.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers se situe ainsi à 73,4 %*** en novembre 2022 (- 2,3 points par rapport à novembre 2021 et - 4,7 points par rapport à novembre 2019 avant covid).
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé de 3,0 % en octobre 2022* enregistrant un volume de 4,173 millions de m3.
Les livraisons de gazoles baissent de 3,7 % par rapport à octobre 2021. Et dans une moindre mesure, celles de supercarburants sans plomb affichent une baisse 1,1 % par rapport à octobre 2021.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers se situe à 74,8 %*** en octobre 2022 (- 0,5 point par rapport à octobre 2021 et - 3,0 points par rapport à octobre 2019 avant covid).
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 3,5 % en septembre 2022* enregistrant un volume de 4,444 millions de m3.
La dynamique de hausse de consommation des essences par rapport aux gazoles se poursuit. Ainsi, les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse de 8,7 % par rapport à septembre 2021 ; dans le même temps, les livraisons de gazoles augmentent plus modérément (+ 1,7 % par rapport à septembre 2021).
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers baisse à 73,2 %*** en septembre 2022 (- 1,3 points par rapport à septembre 2021 et - 3,7 points par rapport à septembre 2019 avant covid).
A l’issue de la négociation salariale de branche qui s’est tenue le 27 septembre 2022, Ufip Énergies et Mobilités et deux organisations syndicales représentatives de salariés, la CFE-CGC PETROLE ET ÉNERGIES NOUVELLES et la FEDERATION CHIMIE ENERGIE-CFDT, ont signé un accord dont les principales dispositions sont les suivantes :
Compte-tenu du contexte économique actuel, l’accord comporte également la possibilité laissée aux sociétés de la branche de mettre en œuvre les mesures ci-dessus avant le 1er janvier 2023.
Ufip Énergies et Mobilités s’est engagée à demander aux Pouvoirs Publics l’extension de cet accord.
Contact presse : Blandine Ruty – tél. + 33 6 10 10 50 72 – bruty@ufipem.fr - @UfipEM
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé de 2,3 % en août 2022* enregistrant un volume de 4,114 millions de m3.
Le basculement d’une partie des consommations de gazoles vers les essences se confirme mois après mois. Ainsi, les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse de 4,8 % par rapport à août 2021 (et en hausse de 17,4 % par rapport à août 2019, avant covid) ; dans le même temps, les livraisons de gazoles poursuivent leur baisse (- 5,0 % par rapport à août 2021 et - 6,3 % par rapport à août 2019 avant covid).
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers continue de baisser à 70,0 %*** en août 2022 (- 2,0 points par rapport à août 2021 et - 4,5 points par rapport à août 2019 avant covid).
« Après la crise sanitaire en 2020, le secteur énergétique a été bouleversé en 2021 par une crise sans précédent et depuis plusieurs mois par les conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Il est clair que le monde de l’énergie est en crise et que celle-ci risque de durer.
Cette crise est marquée d’abord par un retour en force de la géopolitique de l’énergie. J’aime citer cette phrase d’André Giraud qui illustre parfaitement ce défi. Le pétrole est une matière première à fort contenu diplomatique et militaire, avec une valeur fiscale indéniable et accessoirement un pouvoir calorifique. Ce qui vaut pour le pétrole vaut pour le gaz, mais aussi pour les technologies de la transition énergétique. »
Une lecture, même rapide, peut s’avérer très utile dans la complexité du contexte actuel.
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé de 6,2 % en juillet 2022* enregistrant un volume de 4,268 millions de m3.
Plus précisément, les livraisons de supercarburants sans plomb ont enregistré pour la première fois de l’année une baisse de 0,6 % par rapport à juillet 2021 ; dans le même temps, les livraisons de gazoles ont accéléré leur trend à la baisse (- 8,2 % par rapport à juillet 2021 et - 14,7 % par rapport à juillet 2019 avant covid).
Ainsi la part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers s’établit à à 71,9 %*** en juillet 2022 (- 0,9 point par rapport à juin 2022 et - 4,5 points par rapport à juillet 2019 avant covid).
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé de 2,4 % en juin 2022* pour s’établir à 4,278 millions de m3.
Les livraisons de gazoles ont ainsi baissé de 5,1 % par rapport à juin 2021 (et de 6,2 % au global du premier semestre par rapport au premier semestre 2019 avant covid) ; tandis que les supercarburants sans plomb ont continué leur progression affichant une hausse de 5,7 % par rapport à juin 2021 (et de 15,8 % au global du premier semestre par rapport au premier semestre 2019), confirmant mois après mois la tendance observée d’un rebasculement d’une partie des consommations des gazoles vers celles des essences.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers continue de baisser. Elle est évaluée à 72,8 %*** en juin 2022 (- 0,5 point par rapport à mai 2022 et -3,8 points au global du premier semestre par rapport au premier semestre 2019 avant covid).
Chaque année ce sont plus de 215 000 tonnes d’huiles usagées qui sont collectées en France. Leurs détenteurs sont aussi très nombreux et devraient dépasser les 120 000 points de collecte. Pour la filière comme pour l’environnement, les enjeux de collecte et de traitement de ces huiles sont grands.
Collecte gratuite partout en France.
Depuis son entrée en fonction le 23 mars 2022, CYCLEVIA soutient directement grâce aux éco-contributions les opérations de collecte pour assurer aux Professionnels et aux Collectivités la gratuité de ce service, et ce de façon rétroactive à compter du 1er janvier 2022.
Aujourd’hui, CYCLEVIA est heureux d’annoncer que cette gratuité est désormais possible partout en France, dans les départements à faibles potentiels comme dans les DROM COM.
Une avancée rendue possible grâce à l’implication et l’engagement de l’ensemble des acteurs en place et à la confiance des Collecteurs Regroupeurs.
Ainsi, depuis le 6 juillet, CYCLEVIA met à la disposition des Professionnels et des Collectivités la liste des Collecteurs Regroupeurs conventionnés en capacité d’exercer au sein de leur département. Pour les détenteurs d’huiles usagées, c’est la possibilité d’accéder à des solutions de collecte vraiment proches de leur lieu d’activité. C’est aussi pour eux la garantie de faire appel à des professionnels exerçant leur activité dans le cadre de la loi et dans les règles de l’art. La liste est accessible sur le site : cyclevia.com
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 13,2 % en mai 2022* pour atteindre 4,246 millions de m3 , un niveau comparable à celui de mai 2019 avant covid.
Plus spécifiquement, les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse de 25,1 % par rapport à mai 2021 (et en hausse de 18,3 % par rapport à mai 2019, avant covid) ; celles des gazoles progressent de 9,3 %, mais restent en baisse de 4,5 % par rapport à mai 2019, confirmant mois après mois la tendance observée d’un rebasculement d’une partie des consommations de gazole vers celles des essences.
Ainsi, la part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers, tout en restant prépondérante à 73,2 %*** en mai 2022, continue de s’éroder (- 2,6 points par rapport à mai 2021).
L’étude de Concawe sur les Carburants Liquides Bas Carbone (CLBC) (Transition towards Low Carbon Fuels by 2050 - Scenario analysis for the European refining sector) montre, à travers trois scénarios prospectifs de contribution aux objectifs climatiques de l’UE, que les biocarburants avancés et à base de déchets ainsi que les carburants de synthèse et les autres carburants renouvelables, peuvent jouer un rôle clé, complémentaires à l'électrification des transports, pour la décarbonation des transports de l'UE conformément à l'objectif de neutralité climatique 2050.
Regardez Vidéo Clean Fuels for All : a potential pathway to climate neutrality by 2050
L’étude de l’Imperial College sur la disponibilité de la biomasse en Europe à moyen et long terme (Sustainable-Biomass-Availability-in-the-EU, to 2050) montre que la disponibilité potentielle de matières premières durables peut satisfaire les besoins énergétiques d’autres secteurs que le transport, et permettra la production de 46 à 97 millions de tep de biocarburants avancés ou à base de déchets en 2030, et de 71 à 175 millions de tep en 2050, sans nuire à la biodiversité.
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 15,5 % en avril 2022* pour atteindre 4,035 millions de m3.
Plus spécifiquement, les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une hausse de 33,1 % par rapport à avril 2021 (et en hausse de 9,8 % par rapport à avril 2019, avant covid) ; celles des gazoles progressent de 10,3 %, mais restent en retrait de 10,9 % par rapport à avril 2019, confirmant la tendance observée d’un rebasculement d’une partie des consommations de gazole vers celles des essences.
Ainsi, la part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers, tout en restant prépondérante à 73,9 %*** en avril 2022, continue de s’affaiblir (- 3,5 points par rapport à avril 2021).
Dans une lettre adressée le 17 mars au Président de la République et dans le cadre de la présidence française de l’UE, FuelsEurope appelle à un débat sur le rôle essentiel des carburants bas-carbone plus particulièrement pour décarboner le transport routier, afin d’établir un cadre politique et législatif permettant de mobiliser les investissements nécessaires à leur déploiement.
De même, dans une lettre en date du 19 avril, 175 scientifiques européens se mobilisent pour que le rôle des carburants liquides bas carbone dans la décarbonation des transports soit reconnu.
Les 4 enseignements majeurs de l’année 2021 :
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 2,7 % en mars 2022* pour atteindre 4,144 millions de m3.
Plus spécifiquement, les livraisons de supercarburants sans plomb affichent une dynamique forte. Elles sont en hausse de 14,3 % par rapport à mars 2021 ; celles des gazoles ont baissé de 0,7 % par rapport à mars 2021, confirmant la tendance d’un rebasculement progressif d’une partie des consommations de gazole vers les essences.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers reste néanmoins prépondérante à 74,8 %*** en mars 2022, en légère baisse de 2,6 points par rapport à mars 2021.
Les livraisons de carburéacteur ont atteint 0,507 million de m3, enregistrant une forte hausse de + 93,3 % par rapport à mars 2021, mais elles restent toujours en deçà des niveaux de mars 2019 (- 26 %) ; les livraisons de gazole non routier augmentent de 11,7 % à 0,533 million de m3 ; celles de fioul domestique sont en baisse de 4,9 % à 0,546 million de m3.
Le 10 février 2020, la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (dite loi AGEC) introduisait un nouveau régime de Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) applicable aux huiles minérales ou synthétiques, lubrifiantes ou industrielles à partir du 1er janvier 2022. C’est dans ce contexte que le Centre Professionnel des Lubrifiants (CPL) a pris l’initiative de lancer en 2021, le projet de création d’un éco-organisme avec la participation des entreprises volontaires, donnant ainsi naissance à CYCLEVIA.
Par l'arrêté du 24 février 2022 et sa publication au Journal officiel le 23 mars, CYCLEVIA est devenu l’éco-organisme de la filière des huiles et des lubrifiants usagés. Il regroupe 22 entreprises issues de l’association de pétroliers membres de l’Ufip, d’industriels du graissage membres de la CSNIL et de sociétés non affiliées membres du CPL. Cet actionnariat représente près de 80 % du marché des lubrifiants français.
Cette nouvelle organisation a pour vocation d’endosser la responsabilité des producteurs notamment en matière de collecte et de traitement des huiles usagées. Son ambition est de porter cette filière à un haut niveau de performance tout en réduisant son impact sur l’environnement.
Pour y parvenir, CYCLEVIA a fait le choix dans un premier temps d’une REP « financière », en contribuant à la prise en charge des coûts de collecte et de recyclage des huiles usagées. Cette organisation est la plus adaptée aux particularités de la filière et permet de préserver la structure concurrentielle du secteur tout en garantissant le bon accomplissement des missions de l’éco-organisme sur l'ensemble du territoire national, en métropole comme dans les DROM COM.
La filière des huiles et des lubrifiants usagés bénéficie d’un tissu de sociétés disposant d’une longue expérience en matière de collecte, de recyclage et de régénération, mais également d’une bonne complémentarité. CYCLEVIA souhaite s’inscrire dans une continuité respectueuse tout en apportant aux acteurs en place un haut niveau de performance environnementale.
Pour les 6 ans que durera son agrément, l’éco-organisme s’attachera à améliorer le taux de collecte des huiles usagées collectables en renforçant la traçabilité des huiles claires et en développant la collecte auprès des petits détenteurs. CYCLEVIA encouragera également par ses actions la circularité de la filière en favorisant la régénération d’huiles de base pouvant être intégrées dans la production de lubrifiants neufs. Enfin, l’éco-organisme s'engage à soutenir la recherche et le développement de la filière en y consacrant une partie de son budget, dans le but de faire émerger de nouvelles solutions aux propriétés moins polluantes et plus sures pour la santé.
Depuis le 23 mars, chaque fabricant, importateur, revendeur de lubrifiants ou importateur de matériels contenant des huiles minérales peut adhérer à CYCLEVIA et déclarer ses mises en marché.
Télécharger le communiqué de presse
Lien vers l’arrêté : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045393726
Lien vers le site de l’éco-organisme : https://www.cyclevia.com/
Découvrez la lettre ouverte de l’ensemble des pétroliers européens au Président Emmanuel Macron, à laquelle Ufip Énergies et Mobilités s’associe
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 10,1 % en février 2022* pour atteindre 3,749 millions de m3, mais elles restent en retrait de 1,8 % par rapport à février 2020 (avant covid).
Plus spécifiquement, les livraisons de supercarburants sans plomb sont en hausse de 21,9 % par rapport à février 2021 (et en hausse de 7,5 % par rapport à février 2020) ; celles des gazoles ont augmenté de 6,8 % par rapport à février 2021, mais en baisse de 4,4 % par rapport à février 2020.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers reste encore prépondérante à 75,7 %*** en février 2022, en légère baisse de 2,3 points par rapport à février 2021.
Le 9 mars 2022 , Olivier Gantois, président de l’UFIP, a présenté à la presse le bilan 2021 et les perspectives 2022 pour notre industrie en France.
Ce fut également l’occasion de dévoiler la nouvelle identité de l’UFIP au cœur des enjeux climatiques et de la transition énergétique de ses membres.
À l’occasion de sa conférence de presse annuelle, l’UFIP a présenté sa nouvelle vision. L’UFIP devient Ufip Énergies et Mobilités et se dote d’une nouvelle identité visuelle.
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont augmenté de 7,1 % en janvier 2022* pour atteindre 3,632 millions de m3, mais elles restent en retrait de 9,5 % par rapport à janvier 2020 (avant covid).
Plus spécifiquement, les livraisons de supercarburants sans plomb sont en hausse de 18,3 % par rapport à janvier 2021 (et en baisse de 3,8 % par rapport à janvier 2020) ; celles des gazoles ont augmenté de 3,9 % par rapport à janvier 2021, en baisse de 11,1 % par rapport à janvier 2020.
La part des gazoles dans la consommation française de carburants routiers reste encore prépondérante à 75,7 %*** en janvier 2022, en légère baisse de 2,3 points par rapport à janvier 2021.
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP**, sur l’ensemble de l’année 2021, les livraisons de carburants routiers sur le marché français se sont établies à 48,160 millions de m3, en hausse de 13,2 % par rapport à l’année 2020, mais en retrait de 3,8 % par rapport à 2019.
Plus spécifiquement, les livraisons de supercarburants sans plomb sont en hausse de 21 % par rapport à 2020 (et de 4,4 % par rapport à 2019) ; celles des gazoles ont augmenté de 10,8 % par rapport à 2020, en baisse de 6,2 % par rapport à 2019.
Les livraisons de carburéacteur ont atteint 4,530 millions de m3 enregistrant une hausse de
16,6 % sur l’année 2021 par rapport à 2020. Elles restent néanmoins toujours très en deçà des niveaux de 2019 (- 48,3 %).
Blandine Ruty, 54 ans, a fait l’essentiel de sa carrière dans deux grands groupes internationaux, le Groupe Danone et TotalEnergies, à des postes de direction Marketing et Communication.
Depuis 2009 chez TotalEnergies, elle a ainsi occupé plusieurs fonctions à des postes stratégiques et opérationnels : d’abord directrice de la Communication de la branche Gaz & Power en charge de construire la communication sur les énergies nouvelles
(2009-2012), puis à la tête de la direction Image et Marques dans la branche Marketing & Services (2012-2016). Elle rejoint TotalEnergies Marketing France en 2016 pour piloter le marketing du réseau de stations-service et des cartes pétrolières (2016-2019). Avant de rejoindre l’UFIP, elle était directrice de la Communication & Relation Clients de TotalEnergies Marketing France.
Blandine Ruty est diplômée de NEOMA Business School.
La tâche était déjà immense, elle devient urgente. Immense car il ne s’agit pas seulement de demander aux producteurs d’énergie fossiles de résoudre le problème, mais il s’agit de transformer de fond en comble le système énergétique mondial (inscrit dans le triptyque habituel : impact environnemental / sécurité d’approvisionnement / accès à l’énergie). Or ce système a mis des années, des siècles à se construire avec l’idée d’apporter chaque jour de l’énergie plus disponible, plus fiable et moins chère. Urgente car le temps presse alors que le monde traditionnel de l’énergie est un monde de temps long.
Pour autant, les leviers sont connus : la technologie, les évolutions sociétales et les politiques publiques.
Sur ce dernier levier, l’Europe n’est pas en reste avec son ambitieux paquet « Fit for 55 » approuvé cet été. Bien sûr, nous aimerions, en tant qu’acteur du secteur pétrolier, davantage de neutralité technologique alors que nous sommes persuadés que les produits énergétiques liquides bas carbone1 ont un rôle à jouer. Nous aimerions également davantage d’attention apportée à préserver la compétitivité de nos entreprises mais on peut saluer l’ambition de cet arsenal législatif et souhaiter que de telles règles existent ailleurs qu’en Europe. Notons d’ailleurs qu’en France, la loi « climat et résilience», promulguée le 20 juillet, va dans le sens de cette ambition, tout en prenant en compte les attentes sociétales formulées par la Convention Citoyenne sur le Climat.
Sur le levier des évolutions sociétales, notre expérience du contact avec nos clients nous amène à penser qu’ils ont droit à une information plus claire et plus explicite quant au prix de l’énergie décarbonée. Il serait en effet illusoire de penser que ces transformations seront neutres en termes de coût pour le consommateur, qu’il soit particulier, entreprise ou collectivité.
Mais c’est surtout sur le troisième levier, celui des technologies, que nos entreprises ont décidé de jouer un rôle actif. Il ne s’agira pas seulement de transition mais bel et bien de transformation : transformation tout d’abord de nos procédés de fabrication mais aussi transformation de notre offre client puisque le défi va consister à aider nos clients à décarboner leurs consommations et leurs activités. La bonne nouvelle c’est que nous n’allons pas être seul pour relever ce défi. Je suis en effet frappé par le fait que les grandes innovations qui voient le jour ces derniers temps en matière de décarbonation sont des projets multi- acteurs où l’on retrouve des acteurs du monde académique, des startups, plusieurs entreprises du monde industriel et commercialet des acteurs du secteur public. La traditionnelle chaine pétrolière devient ainsi un cercle où chacun collabore avec ses spécificités et ses compétences. Comme si chacun se tenait la main pour se réinventer… ensemble…
Olivier Gantois
Président de l’UFIP
(Union française des industries pétrolières)
1- Les produits énergétiques liquides bas carbone sont soit produits à partir de biomasse ou de déchets, soit produits à partir d’hydrogène décarboné (carburants de synthèse).
Contact presse : Alain Castinel – acastinel@ufip.fr - @UFIP_fr
Selon les derniers chiffres publiés par le CPDP*, sur l’ensemble de l’année 2020, les livraisons de carburants routiers sur le marché français se sont établies à 42,555 millions de mètres cubes, en baisse de de 15 % par rapport à 2019.
Les livraisons de supercarburants sans plomb sont en baisse de 13,7 % et celles des gazoles en baisse de 15,4 %.
Les livraisons de carburéacteur baissent de 55,7 % à 3,884 millions de m3.
Celles de gazole non-routier augmentent de 1,8 % à 5,291 millions de m3.
Les livraisons de fioul domestique sont en baisse de 1,5 % à 6,276 millions de m3.
Au total, les livraisons de produits pétroliers énergétiques baissent de 17,3 % sur l’année pour s’établir à 48,492 millions de tonnes.
Pour le mois de décembre 2020, les livraisons de carburants routiers sur le marché français ont baissé à 3,838 millions de mètres cubes (-10,2 %) par rapport à décembre 2019.
Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, a réuni ce jour (jeudi 16 avril) par audioconférence les acteurs du secteur pétrolier. La ministre a échangé avec les acteurs sur les actions mises en œuvre pour assurer la continuité de l' approvisionnement et la préparation du déconfinement.
Dans ce contexte économique difficile, la ministre a remercié les entreprises et leurs salariés pour leur mobilisation qui a permis le maintien des services essentiels, dont les stations- service sur les autoroutes - nécessaires en particulier pour les transporteurs routiers de marchandises - de même que les livraisons de combustibles aux particuliers ou de gazole non routier aux entreprises du BTP et du secteur agricole.
Lire le communiqué du Ministère de la Transition écologique et solidaire
Une trajectoire présentée par l’industrie européenne du raffinage montre la façon dont, grâce aux carburants liquides bas carbone, le secteur des transports pourrait contribuer à atteindre l’objectif de neutralité pour le climat de l’UE d’ici 2050.
John Cooper, Directeur général de FuelsEurope, précise : « Aujourd’hui, nous définissons une trajectoire ambitieuse pour permettre aux transports de contribuer à l’ambition de neutralité climatique de l’UE d’ici 2050, sur la base d’une intensification de l’approvisionnement et de l’utilisation des carburants liquides bas carbone, et cela dans plusieurs secteurs des transports. Compte tenu des raisons sociétales et scientifiques évidentes incitant à catalyser l’action climatique, et au vu des impacts économiques et sociaux de la crise du coronavirus, nous savons qu’il n’y aura pas de retour à la normale pour le secteur des carburants. Alors que l’Europe se concentre sur la reprise et les besoins en nouveaux investissements, nous sommes convaincus que le moment est venu d’entamer des discussions avec l’UE et les décideurs politiques nationaux, ainsi qu’avec le secteur dans son ensemble, afin de dessiner un cadre politique propice au déploiement de ces carburants liquides bas carbone. »
Olivier Gantois a rejoint le Groupe Shell en 1986 à sa sortie de l’Ecole Polytechnique. Il y a été notamment Trader de produits pétroliers, Economiste en raffinerie, Responsable des achats puis de la distribution de Butagaz, puis Responsable de l’approvisionnement des raffineries européennes.
Le 12 décembre dernier, l’ADEME a présenté les résultats de son étude portant sur le gisement d’économies d’énergie, qui servira de base à la fixation des objectifs CEE pour la prochaine période d’obligation (dite P5).
L’UFIP s’étonne qu’une nouvelle fois, cette étude conduise à un gisement en hausse de 25 % par rapport au niveau qui avait servi à fixer l’objectif de la période actuelle.
Le coût de ces certificats a en effet été multiplié par 3 en 2 ans (il est passé de 2 centimes par litre à près de 6 centimes par litre), ce qui représente pour les seuls carburants un coût supplémentaire pour les Français et les Entreprises d’environ 2 milliards d’euros par an.
Depuis que cette obligation a été doublée en 2017, la production de CEE reste très inférieure aux objectifs recherchés, malgré les dispositifs mis en place (tels que le coup de pouce chauffage et isolation) pour augmenter cette production. Le système butte entre autres sur le nombre de personnels qualifiés pour procéder aux travaux d’isolation selon les règles en vigueur. C’est pourquoi, l’ensemble des énergéticiens souhaitaient que cette prolongation d’un an soit assortie d’un niveau d’obligation inchangé par rapport à celui de la période initiale de 3 ans.
Malheureusement le gouvernement a refusé d’introduire de la souplesse dans le système en exigeant pour cette 4è année le même niveau d’obligation que pour les années précédentes, ce qui conduit à maintenir un supplément de coût élevé sur l’ensemble des factures énergétiques pour les consommateurs alors que pour les carburants, le niveau de taxes est déjà jugé très élevé et les niveaux de prix à la pompe sont supérieurs à celui de nos voisins européens, Allemands ou Espagnols.
Nous regrettons vivement de ne pas avoir été entendus, car ce refus se traduit par un fort renchérissement du coût pour toutes les énergies.
En conclusion, une bonne idée au départ pour économiser l’énergie… mais qui rencontre des problèmes d’efficacité dans son exécution car trop rapide, trop forte, trop chère.
La transition énergétique ne peut être couronnée de succès que si la trajectoire est acceptée et donc acceptable.
(*) A fin 2018, les quantités de « CEE délivrés » pour la 4è période accusaient un retard de 225 TWHc, par rapport à l’objectif de 533 TWhc ramené à l’année (soit une couverture à hauteur de 58 % seulement de l’objectif).
Le courrier attire l’attention sur les impacts croissants du coût des certificats d’économies d’énergie (CEE) pour les consommateurs et demande que la 4è période triennale du dispositif CEE (qui depuis le 1er janvier 2018 a doublé les obligations des fournisseurs d’énergie), soit prolongée d’au moins un an, afin d’alléger son poids sur les factures des énergies de chauffage et sur le coût des carburants.
La lettre est disponible ici.
Ce Forum, qui s'est tenu le 7 décembre à Bruxelles, a permis des discussions approfondies entre la Commission, les États membres, des experts et l'industrie sur la vision stratégique à long terme de la Commission et sur la vision 2050 du secteur du raffinage qui promeut l’utilisation de carburants liquides bas carbone. Les participants ont reconnu le rôle important qu’auront les combustibles liquides dans le bouquet énergétique pour la mobilité à l'horizon 2050 ainsi que la capture et le stockage du CO2, technologie clé pour les industries à forte intensité énergétique, pour atteindre les objectifs 2050. L'industrie a appelé à une politique industrielle ambitieuse à l'échelle européenne afin de lui permettre de déployer les technologies bas carbone nécessaires pour réduire ses émissions de GES et à un cadre réglementaire qui rende attractif les investissements dans l’UE
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